Dès le début de la pandémie de coronavirus, l'AO Alliance a fourni des équipements de protection individuelle (EPI) produits ou achetés localement, afin de protéger le personnel de santé en traumatologie et orthopédie (T&O) dans les pays dans lesquels nous sommes actifs. Cet effort a été reconduit en 2021, avec la livraison d’EPI supplémentaires.
Au Zimbabwe, c’est le 17 mai dernier que sont arrivés les dons, qui consistaient de masques faciaux, gants chirurgicaux, lunettes de protection, visières, blouses jetables et désinfectants pour les mains. Ces articles ont été partagé entre les trois principaux hôpitaux du pays, à savoir l'hôpital de Parirenyatwa (le plus grand du pays), l'hôpital de Harare (le deuxième plus grand) et l'hôpital de Chitungwiza. Les départements T&O de ces hôpitaux disposent d’un total de 60 lits pour la chirurgie et traitent des patients provenant de tout le pays.
Notre enseignant pour l’AO Alliance sur place, le Dr Malvern Nyamutora souligne que le nombre de traumatismes n’a pas diminué durant la pandémie et que les départements de T&O ont pâti de la réaffectation des EPI à d’autres départements. Cela a eu un impact direct sur les patients qui ont dû attendre plus longtemps pour se faire soigner, tandis que d’autres ont préféré ne pas se rendre du tout à l’hôpital par crainte de contamination.
Pour le personnel médical en T&O, ce don est arrivé à point pour pouvoir continuer à soigner les blessés.
Au Zimbabwe, c’est le 17 mai dernier que sont arrivés les dons, qui consistaient de masques faciaux, gants chirurgicaux, lunettes de protection, visières, blouses jetables et désinfectants pour les mains. Ces articles ont été partagé entre les trois principaux hôpitaux du pays, à savoir l'hôpital de Parirenyatwa (le plus grand du pays), l'hôpital de Harare (le deuxième plus grand) et l'hôpital de Chitungwiza. Les départements T&O de ces hôpitaux disposent d’un total de 60 lits pour la chirurgie et traitent des patients provenant de tout le pays.
Notre enseignant pour l’AO Alliance sur place, le Dr Malvern Nyamutora souligne que le nombre de traumatismes n’a pas diminué durant la pandémie et que les départements de T&O ont pâti de la réaffectation des EPI à d’autres départements. Cela a eu un impact direct sur les patients qui ont dû attendre plus longtemps pour se faire soigner, tandis que d’autres ont préféré ne pas se rendre du tout à l’hôpital par crainte de contamination.
Pour le personnel médical en T&O, ce don est arrivé à point pour pouvoir continuer à soigner les blessés.